Le mois de février n’est pas le plus gâté du calendrier. Il arrive derrière du lourd, il faut l’admettre.

Décembre, qui peut être considéré comme le mois de la fête et des cadeaux, donne l’occasion de nombreux échanges et l’affichage d’un bonheur, qui serait garanti, s’il passait avec certitude par les échanges de présents ou par le nombre des sapins privés de croissance.

Janvier, plus laïque, mais celui des espoirs et des promesses. Celui des vœux sincères pour une année riche, où l’on s’engage, ce que savent faire nos adhérents, pour démarrer de grandes résolutions qui peuvent être quelquefois éphémères mais qui rythment nos espoirs de changement.

Et voici que février arrive. Le pauvre, il déroule un tapis rouge, qu’il n’empruntera pas, aux bourgeons printaniers. Il voit disparaitre des étales gourmands de galettes et de brioches. Lui, coté gourmandises, il faudra faire avec quelques crêpes et quelques bugnes, et, pour le reste, il ne donnera l’occasion de   peu de réjouissances. Pas étonnant qu’il n’ait été gratifié que de peu de jours.

Ce serait oublier, la Saint Valentin, glissée intelligemment par le service marketing peut être d’EROS ou de CUPIDON (ou celui des commerçants ?), pour offrir à ce mois frileux quelques occasions de réchauffer les cœurs.

Nous nous emparons de cette fête des amoureux, pour vous dire combien nous vous aimons, amours d’adhérents, vous qui affichez depuis longtemps contre vents et marées, votre fidélité indéfectible à ce territoire Nord.

Nous présentons le 28 de ce mois quelques grands projets qui vont irriguer favorablement notre territoire : L’extension du tramway Nord, la requalification de GEZE, La ligne nouvelle – LNCPA.

Si on s’appuie sur cette citation du poète français Pierre REVERDY : «Il n’y a pas d’amour, il n’y a que des preuves d’amour.”

Vous constaterez qu’Il semblerait que votre amour soit communicatif et que les budgets et les regards se portent davantage vers le NORD. Preuves d’amour ?  Vers un territoire terre d’amour…

 

Christian Cortambert