Impactées par le virus du Covid, par les périodes électorales, par les conflits internationaux par les affres politiques, etc., les entreprises ne savent plus trop à quel saint se vouer.

L’augmentation du coût des matières premières entraîne des craintes au moment même où les attentes et les exigences surprenantes des ressources humaines en poste et/ou en recrutement déboussolent les organisations…

Dans ce dédale de situations chaotiques comment trouver un second souffle et préparer ce deuxième semestre, et l’avenir, sereinement ? Il faut admettre que toutes les entreprises ne semblent pas actuellement en terrain favorable pour pérenniser avec certitude leur développement.

Vous les adhérents de CANE, vous savez, que rien ne tombe du ciel tout cuit et que c’est toujours à travers vos engagements et vos actions que vous contribuez à fertiliser le territoire sur lequel ensuite vous grandissez. C’est une mission que vous vous imposez, une dimension sociale dans votre fonctionnement qui crée des espaces et une autre respiration, ce fameux second souffle.

Il y a cinquante ans, Antoine Riboud alors président du Groupe BSN prônait, à Marseille,dans un discours resté célèbre, l’impérieuse nécessité de prendre en compte la dimension humaine de l’entreprise. En vous imposant, de façon intrinsèque, une mission encore plus large, vous façonnez, vous aussi, une activité économique propice à de nouvelles ambitions.

Les effets positifs que chacun d’entre vous affiche, à minima sur notre territoire, vous permettrait de vous définir comme une entreprise à impact. Mais en quoi cette caractéristique serait-elle un levier d’amélioration et d’attractivité ?

Les « RENCONTRES DE CANE », cette année en septembre 2022, donneront l’occasion d’offrir une tribune à de grands témoins engagés dans ces réflexions ou qui ont déjà changé de CAP sans pour autant perdre le Nord.

Je vous souhaite un très bel été, certain de vous retrouver gonflés à bloc dès votre reprise.