Dans le vocabulaire de notre langue s’il y a bien un mot élevé au rang de substantif à l’existence propre c’est bien celui d’« environnement ».

Bien plus qu’un simple mot il s’est hissé au rang de concept et sa grammaire oblige des conjugaisons plurielles.

Il est devenu cet auxiliaire déterminant, et, il participe désormais à toutes les réflexions dont il est devenu le complément incontournable.

Dans son genre il se revendique l’attribut essentiel, et, même si, souvent positionné en apposition, il se considère comme une juxtaposition de toutes les avancées en mettant l’accent sur l’essentiel, notre santé, la survie de notre existence et le respect de la planète Terre à l’article de la mort sans une réaction radicale….

Il n’y a rien de superlatif et ce n’est plus un effet de mode de se préoccuper de lui dans tous nos actes et dans les conjonctions de chacune de nos décisions.

Oui certains locuteurs ne sont en accord ni avec les causes ni avec les conséquences et placent différentes interjections comme « basta » pour qu’on les laisse respirer en paix. Mais c’est justement la volonté de ceux qui se battent pour le respect de l’environnement ; mieux respirer en paix…Les règles grammaticales qui paraissent, au premier abord, obscures sont parfaitement maîtrisées par la plupart d’entre nous. D’abord parce qu’elles permettent de structurer le langage et la pensée, ensuite parce qu’elles sont l’outil indispensable de la communication entre les êtres humains. Les questions d’environnement possèdent finalement les mêmes caractéristiques : elles paraissent complexes au départ mais sont essentielles et indispensables pour penser un avenir digne pour la condition humaine.

Finalement, la prise en compte de l’environnement devient le B-A-BA de l’existence au même titre que la grammaire est le B-A-BA de la communication entre les Hommes.